Le réveillon 2006/2007
Cette année on a encore fêté le passage de la nouvelle année avec des copains (pratiquement toujours les mêmes, même si certains ont une facheuse tendance à bouder les révéillons entre amis depuis quelques temps...). Donc cette année, on était à Perros-Guirec même : un réveillon au bord de la mer, c'est tellement tendance...
On avait bien sûr fait manger les enfants avant (pour être tranquilles entre adultes responsables) : un menu très equilibré au programme : saucisses/pommes noisettes :
Ensuite, les enfants sont partis faire la "fête" à l'étage, et on a pu commencer les choses sérieuses : avec un nouveau cocktail détonnant de notre barman préféré :
personnellement, je n'y ai pas gouté (j'ai de très mauvais souvenirs de ce genre de breuvage...) : de simples bulles de tradition champenoise m'ont suffit (c'est vrai, pourquoi faire simple quand on peut faire compliquer...) accompagnées de nombreux toasts et autres tapas succulents.
Ensuite, on a embrayé directement sur une petite entrée de ma composition (une terrine de foie gras maison que j'ai appris à faire à un cours de cuisine "spécial foie gras"), accompagnée de verdure, de confit d'oignons, de confit de figues et de pain aux figues (quand on aime, on ne compte pas) :
Ensuite, ça s'est encore activé en cuisine :
pour un superbe osso-bucco (on l'a aimé en 2006, on l'aime en 2007...mais l'aimera-t'on en 2008 ?) : peu de convives ont terminé leur assiette, mais j'y suis arrivée.
Ensuite un peu de fromage bio bien costaud.
Et le final : de succulentes profiterolles au chocolat faites sur place par le chef patissier :
qui est venu avec tout son matériel de professionnel (et en prime le
secret du chocolat chaud qui ne coagule pas a été enfin dévoilé).
Ensuite, à minuit pétante, les enfants sont descendus nous souhaiter la bonne année et on a pu enfin se lâcher sur des musiques pop ! Avec moults séances de smurf et autres hip-hop (avec quelques bleus en prime le lendemain ainsi que des chevilles douloureuses). Avec arrêt de la musique vers 6 H 30 du mat' pour que le barman puisse aller à sa traditionnelle pêche aux croissants du 1er janvier, et il n'est pas rentré bredouille avec même en prime un petit détour pour le lever du soleil sur la mer. Le lendemain matin, les troupes étaient beaucoup moins fraîches que la veille, mais cette année pas de gastro le 1er janvier ! Rien n'était avarié !